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Marathon de Vannes 2014

Marathon de Vannes 2014                                                                                           

artfichier_330629_2895317_201310193307259samedi 19 octobre: veille du marathon de Vannes

Arrivée au gite après un petit resto bien sympa ….

14h: le gite…super top avec des chambres dans tous les coins!! la colonie de vacances a réussi à choisir sa chambre!

15h: récupération des dossards

16h: dernière course pour le repas de dimanche soir (alors la c’est la fiesta: chips,saucisson, poulets, cacahuètes…et boissons …la je ne détaillerais pas)

17h: maintenant c’est repos pour tous: dans le canapé les pattes en l’air ou devant le match de rugby pour les mordus!! L’ambiance est bonne …pas de pression!!

19h: il nous manque encore un dernier élément : Doc Lo qui n’est pas encore arrivé mais nous ne désespérons pas!!

Météo: après avoir eu des trombes d’eau ce matin et un soleil timide cet après midi, nous espérons avoir une météo correcte demain matin: météo prévue: 15 à 18°C avec un vent 30 km/h avec rafales et le top du top : orages

A part ça tout va bien!!

Dans les petits potins: Marouane va faire son 1er marathon!! il ne sait toujours pas s’il va suivre David, Bruno ou le meneur d’allure!!

il compte cogiter tout le nuit!!

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Fatima , en duo avec Grand Seb va faire son 4eme semi marathon!!

Grand Seb la coach et l’attendra de pied ferme !!

Aie!! Patrice dit Lapin qui ne fait pas parti des moins rapides, vient de sortir la bouteille de Whisky!!! car Lapin prend toujours un petit verre avant un marathon!

c’est un mystère de la nature ce garçon!!

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signé Isa ….dit la ronchon!!    eh oui , il parait que je suis ronchon???!!! Mais non ce n’est pas vrai, je ne fais juste que m’exprimer!!

La suite au prochain numero…

Préparation mentale

Objectif : se préparer mentalement à une course: un peu « d’auto sophro »

 Ça y est ! Vous avez fait tout ce qu’il fallait pour être prêt pour votre prochaine épreuve, en tout cas, physiquement.

     Mais un plan d’entraînement n’est complet que si vous avez aussi travaillé votre mental. Voici les conseils de Thomas Lorblanchet, athlète pro, membre du team Trail de Salomon. Entraîner son esprit Au cours des dernières semaines d’entraînement qui précèdent la course, simulez dans votre tête les conditions du jour J. Imaginez-vous au réveil, prenant votre petit déjeuner, vous rendant à la course, vous échauffant… Bref, toutes les étapes qui vous mènent juste devant la ligne de départ.

     Concentrez un maximum de vos sens sur cet exercice : essayez de ressentir la présence des autres coureurs autour de vous, écoutez le coup de feu de départ qui retentit, visualisez-vous en train de courir à un rythme régulier. Pensez également aux difficultés que vous pourriez rencontrer à mi-parcours, anticipez les pentes, les points de côté, les coups de moins bien, et imaginez-vous les surmonter. Enfin, projetez-vous à la fin de la course, une fin glorieuse mais réaliste, c’est-à-dire difficile. Acceptez le fait que vous aurez mal, parce que c’est ainsi : les courses à pied font toujours un peu souffrir. Cela vous aidera à dépasser de nombreux obstacles.

    Mettre les pensées négatives au placard ! Si vous êtes du genre à avoir le trac, essayez de vous calmer en focalisant votre esprit sur vos plus belles courses. Remémorez-vous vos meilleures performances et rappelez-vous comment vous les avez réalisées. Cette technique est valable même si vous préparez votre première course, il vous suffit de visualiser tous les meilleurs entraînements que vous avez faits jusqu’à présent. Garder l’esprit dans la course Une fois au cœur de la course, il est très facile d’oublier la superbe épreuve que vous aviez pourtant imaginée. Barbara Walker, psychologue sportive américaine et docteur en psychologie, conseille de vous répondre à vous-même en inscrivant un mot ou une phrase clé (comme, par exemple, « un kilomètre à la fois » ou « chaque chose en son temps ») sur votre bras ou votre poignet. « Ramenez votre esprit à une pensée positive et légère » ajoute-t-elle.

    Pour combattre la fatigue ou une montée difficile, un autre psychologue américain, Robert Troutwine, docteur en psychologie, conseille à ses patients de s’imaginer dans la peau d’un animal puissant : « Vous projeter dans le corps d’un gros lion ou d’une belle gazelle vous aide à trouver l’impulsion nécessaire pour avancer » dit-il. Ce dernier suggère également d’imaginer qu’un vent vous aide en vous poussant en avant, afin que vous puissiez presque « voler d’un kilomètre à l’autre ». Dernière possibilité : pensez que vous êtes une machine ! Et Robert Troutwine de développer : « Tout ce que vous avez à faire est d’appuyer sur l’accélérateur… Alors, écrasez-le ce champignon ! »

L’aspiration

artfichier_330629_614558_201203073004553Mondial d’athlétisme de Daegu – photo G.B.

Tous les cyclistes savent bien qu’on économise une précieuse énergie en « suçant la roue » d’un collègue devant soi.

A 60 km/h, l’économie vaut environ 40% ! Pour celui qui est devant, le deal est moins intéressant. Mais le cycliste qui « tire l’autre » (dans le jargon du vélo) réduit légèrement sa trainée aérodynamique et donc sa dépense énergétique de l’ordre de 4%.

Et en course à pied ?

Du fait des vitesses plus faibles, ce paramètre revêt moins d’importance. A 17 km/h, le surcoût de celui qui est devant est évalué à 2%. Puis grimpe exponentiellement. Le gain s’élève à 4% à 20 km/h et même 8% à 22 km/h. A cette vitesse, la différence représente près d’une seconde par tour de piste. Le rôle du lièvre pour celui qui veut battre des records n’est pas seulement de donner l’allure et d’apporter un soutien d’ordre psychologique, il épargne aussi au champion quelques watts de dépenses inutiles et donc lui permet de préserver des forces pour les dernières centaines de mètres où il se retrouvera tout seul.

Zatopek N°20 Nov-Dec 2011 p.17 par Grégoire Millet et Gilles Goetghebuer

Un article particulièrement destiné à Sylvain, notre Vil Coyote, particulièrement véloce, qui sur marathon se rapproche des 17km/h et des 19 km/h sur 10 000m. De là à l’inciter à « suçer la roue » du concurrent devant soi, il y a une limite que je ne franchirai pas…

Laurent.