Wings For Life 2016

Wings For Life 2016                                                                                big_artfichier_330629_3236007_201312210432253

Un concept de course tout à fait original:  Une course qui débute au même moment dans 33 pays (34 villes), pas de ligne d’arrivée mais une voiture , la « catcher car », qui part 30 minutes après les coureurs et qui élimine les participants au fur et à mesure qu’elle les double.

La voiture démarre à 15Kms/h puis passe à 16Kms/h au bout d’une heure, 17Kms/h au bout de 2h, 20Kms/h au bout de 3h et enfin 35Kms/h au bout de 6h.

130000 coureurs à travers le monde. 4200 coureurs à Rouen (ville hôte de l’épreuve française) où le départ a été donné à 13h.

Sans titrehttp://www.wingsforlifeworldrun.com/fr/fr/

7 coureurs de l’ACB ont participé à cette épreuve le 8 Mai à Rouen.

Retrouvez les photos de la journée en cliquant ICI

Les résutlats de l’ACB: distance parcourue avant de se faire rattraper par la catcher car :

Nathalie et Agnès : 10Kms

Florence : 17Kms

Thierry : 21Kms

Georges : 21,5Kms

Yannick : 24,4Kms

Stéphane : 28,8Kms

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3 réflexions sur « Wings For Life 2016 »

  1. Qui a dit qu’il ne faisait jamais beau en Normandie ? en tout cas pas ce Dimanche 8 mai à Rouen. Il ne fallait pas oublier sa casquette et sa crème solaire. Presque trop chaud pour courir.
    Un petit encas vers 10 h (pas léger pour tout le monde), séance d’habillage à l’arrière des voitures et il est déjà temps de rejoindre les sas de départ.
    Un léger échauffement et les fauves sont lâchés. Les premiers km serpentent à travers le centre ville. Malgré les faux plats, le rythme est soutenu (4’40 ») mais le soleil est omni présent. Dans les rues, on est tous à la recherche de l’ombre, on longe les murs. Le premier ravitaillement au km 7 est le bienvenu. On franchit une nouvelle fois la Seine et nous voici le long des quais en direction du Havre. Le public est présent, on envie ceux qui sirotent leur bière à la terrasse des brasseries. On sort de la ville, les écarts se creusent et la catcher car engloutie les km et les coureurs les uns après les autres. Tant redoutée mais c’est finalement une délivrance lorsqu’elle arrive à ma hauteur. Le retour se fait en navette jusqu’à l’hôtel de ville, notre point de départ. Débarbouillage rapide, changement de tee-shirt, et nous voici prêt pour une séance photo, histoire d’immortaliser l’instant. Bientôt 18h30, il est temps de mettre un terme à notre pause réhydratation. Arrivée sur Beauchamp 20h30. Bref, c’était une belle sortie.

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